Être là au moment où un rien devient beau et le figer. Un voyage en argentique de janvier à juillet, un vagabondage en Asie du sud-est sans itinéraire pour ne rien attendre d’autre que des instantanés de vie.
Glaner des clichés pour partager un «c’était-comme-ça» et offrir une itinérance.
En toute discrétion, opérer à de petits prélèvements sans rompre le mouvement, et cristalliser une intimité sans abîmer la douceur de l’instant.
La curiosité et la découverte de l’autre m’entraîne dans sa course folle vers ces petits riens qui racontent tout.
Arpenter une ville, un quartier, une rue, un trottoir, puis flaner, regarder et écouter…
Entre le calme des marchés en fin de journée, la lenteur bienfaisante des traversées ferroviaires, et la délicatesse des sourires pandémiques, chaque image révèle une part de vie ordinaire.